mardi 4 novembre 2008

Marathon Nice-Cannes

cert20x30-NCML1434-thSourire  09 novembre 2008
Nice-Cannes était première. Et quelle première ! Un temps magnifique, le bleu de la mer se conjuguait avec celui du ciel. Un parcours magnifique le long de la côte, Cap d’Antibes et ses belles propriétés, Juan les pins et ses orchestres de jazz. Une arrivée sous les spot lights des marches du palais des festival. Ce marathon porte en lui les germes d’un grand marathon européen. 3H59, pour une course pas aussi roulante que je ne l’avais imaginée. 
En dehors de mes souvenirs sportifs, mes meilleurs moments pourraient se résumer à ces trois petits déjeuners pris sur une terrasse avec la douceur du soleil matinal et la lumière de la méditerranée.
Une jolie page que ce 14ème marathon. Le prochain ne sera pas un marathon mais certainement un effort équivalent.   Il s’agira de terminer une course nature de 32 km dans les monts d’Ambazac : “Les gendarmes et les voleurs de temps”…Une première pour moi.

lundi 6 octobre 2008

Semi marathon de Cyrano

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SourireOctobre 2008
211ième pour 1H45, 33ième de ma catégorie, c'est moins bien, mais le soleil brillait et Bergerac resplendissait de sa pierre ocre et de ses couleurs automnales. La veille était consacrée à la répétition d'un numéro très spécial ! La suite après le marathon de Nice-Cannes.
SourireOctobre 2007
On reprend les mêmes et on recommence. Record personnel battu...1H43, malgré le repas de maman Roxane de la veille!!!  Ce semi était le dernier de la préparation du marathon de Venise. Il vient à point nommé pour conforter mon mental et mon physique... Mens sana in corpore sano. 
SourireOctobre 2006
Il n'y a pas de doute...pour courir plus vite il n'y a pas mieux que Roxane. (Surtout quand Roxane est sa maman). 1H53 pour ce premier semi de Bergerac, c'est pas mal...avec en plus l'interview en final. Vivement l'année prochaine !



mercredi 1 octobre 2008

De la promenade des anglais à la croisette

 RireLe 1er octobre 2008.
Le 9 novembre prochain, me voilà reparti vers de nouveaux horizons marathoniens !
Nice – Cannes est une première. Nous partons de la promenade des anglais et nous terminons sur la Croisette devant les mythiques marches du Palais des Festivals et des Congrès. Nous cheminerons le long de la côte.

Comment prépare-t-on un marathon ? Avec bonne humeur et persévérance. Compte tenu de mes activités professionnelles, une semaine type ressemble à une sortie longue d’au moins deux heures, dans la nature généralement, une séance d’une heure de récupération et deux séances variant d’une heure quinze à une heure trente sur piste à réaliser des séries de 1000 mètres et de 400 mètres à des allures très soutenues. J’arpente entre 55 et 60 km par semaine. Une fois dans ma préparation, j’effectue une sortie de 30 km.
Pour moi, tout l’art de la préparation est de me trouver le jour J dans le meilleur un état physique et émotionnel pour parcourir les 42km195 avec joie et plaisir.

Je resterai sur place que trois jours. Le grand évènement de cet automne est le 50 ième anniversaire de ma sœur pour lequel nous préparons une fête inoubliable.
Mais, c’est une autre histoire que je dévoilerai après cette date. Tout doit rester secret d’ici là…chut !

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dimanche 27 avril 2008

Marathon de Vienne

Tire la langue05 mai 2008. Fermer les yeux et imaginer ! Les derniers kilomètres du marathon serpentent dans la ville, baignés dans la musique de Strauss diffusée par des haut-parleurs. La lumière du soleil joue avec les frondaisons verts-tendres des arbres qui bordent le « Ring ». Les derniers hectomètres sont parcourus dans un couloir humain qui vous accompagne jusqu'à l’Heldentor (La porte des héros). Vous franchisez l’arc de triomphe à cinq arches, vous pénétrez dans la Heldenplatz (La place des héros) où la statue de l'archiduc Charles d'Autriche salue votre arrivée sous les clameurs chaleureuses des passants et des accompagnants. De tous mes marathons, c’est l’arrivée qui a porté au plus proche du bord des yeux mes larmes…
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Malgré les trois mauvaises nuits qui ont précédé le Marathon, le temps est honorable avec 3h58, le classement est plus flatteur : 3267 sur les plus de 24 000, et 333 ième dans ma catégorie. Aux moments difficiles, j’ai senti que j’étais porté, encouragé…par la caresse d’une plume…
L’autre moment phare de ce séjour à Vienne, c’est la visite d’une des maisons où vécu Mozart. Son logement, au premier étage, est un vrai appartement de maitre avec quatre grandes pièces, deux petits salons et une cuisine. On image sa vie, le bureau où il a écrit des œuvres majeures. On tremble devant ses partitions manuscrites, où le génie transparait à chaque portée. On pleure devant la vision de cette répétition dans le salon avec Haydn et son père des magnifiques quatuors pour deux violons, violoncelle et alto. Et ces mots de Haydn qui retentissent : « Je dois vous le dire devant Dieu, et comme un honnête homme, votre fils est le plus grand compositeur que je connaisse, en personne et de nom ». 
On rit à cette lettre de Wolfgang à sa sœur :
« Il est grand temps que je t'écrive, si je veux que ma lettre te trouve encore vestale ! [...] Accepte, tiré du compartiment poétique de ma cervelle, le petit avertissement que voici :
“Tu vas apprendre, dans le mariage, bien des choses qui étaient pour toi une demi-énigme.Tu vas bientôt savoir, par expérience, Comment Eve, jadis, a dû s'y prendre pour mettre ensuite Caïn au monde. Cependant sœur, ces devoirs du mariage, tu les rempliras volontiers de bon cœur ; car crois-moi, ils ne sont pas pénibles., mais chaque chose a deux faces : si le mariage apporte beaucoup de joie, il apporte aussi des soucis, aussi, si ton mari te fait grise mine, sans que tu croies le mériter, in jour de méchante humeur, pense : ce n'est là que boutade d’homme ! Et dis : mon maitre, que ta volonté se fasse, le jour, mais la mienne, la nuit ! »
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mardi 1 avril 2008

Vienne attend moi...J'arrive !

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Quel est le point commun entre ces différentes pièces de Mozart : la flute enchantée, le concerto pour clarinette, le requiem inachevé, les quintettes, l’Ave verum corpus, la symphonie "Jupiter ? Des œuvres sublimes, brillantes dont la profondeur reste inégalée ? Non ! Toutes ont été écrites à Vienne.

A la fin de ce mois, après Milan, Prague je repars sur les traces de ce compositeur qui enchante mon âme et charme mes oreilles.

Voici donc Vienne et son marathon qui serpente au gré de son architecture flamboyante et élégante. Trois heures quarante cinq pour mes premières foulées dans la capitale autrichienne et cinq jours pour une balade dans le passé à s’enivrer de valses et de swing. Vienne attend moi…J’arrive !