dimanche 17 novembre 2013

Valencia, une journée particulière…

C’est l’histoire de deux solitudes qui se rencontrent aussi belles qu’impossibles. C’est un peu l’histoire de mon marathon à Valencia la séduisante. La solitude, ça n’existe pas chantait Léo Ferré. Pourtant je l’ai touchée du doigt. J’ai compris le sentiment d’indifférence, de rejet, d’incompréhension. Deux marathons ont marqué ma vie personnelle. Celui de la Rochelle où j’ai pris la décision de divorcer, de rejeter, celui de Valencia où j’ai compris la souffrance d’être rejeté. Un marathon spirituel, un marathon sur l’âme, un marathon sur le sens de la vie.  Le temps n’a plus d’importance, c’est le chemin parcouru…
Et même si au bout du chemin,la joie de l’incroyable est là,  c’est le chemin qui compte,c’est celui qui construit ou déconstruit.
Valencia est une ville dans laquelle j’aimerais vivre. Le fleuve Turia,détourné, a laissé place à une trouée verte où il fait bon se promener. Valencia est un exemple. Un exemple d’intelligence en matière d’urbanisme, un exemple remarquable en matière d’architecture. Les maisons de Prague du XVIII ième sont les filles de Valencia. Colorées, espagnoles jusqu’au bout des fenêtres. La cité des sciences est la mère de l’architecture du XXI ième siècle. Je suis amoureux de Valencia. La gentillesse de ses habitants, ses espaces verts, son architecture. Tout en fait une séduisante, une rebelle, une ville aux milles facettes. De tout mes marathons, j’en emporterai trois dans l’au delà et pour les mêmes raisons : l’émotion de l’arrivée. Venise la sérénissime, Vienne la magnifique, Valencia la séduisante. Ce sont mes trois V…
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