lundi 12 novembre 2007

Marathon de Venise

 Sourire11 novembre 2007
Quel marathon! L'arrivée dans Venise, ses 14 ponts à franchir, la place St Marc, une très belle lumière, un ambiance de carnaval, j'ai adoré...Sur le plan sportif, un bon temps pour moi, dossard 6111, milieu de classement  avec 3 heures 55.
Je suis resté trois jours après, pour visiter Venise. Une ville hors du temps, figée au 18 ième siècle,  traversée par des centaines de ruelles et de canaux. On s'attend à rencontrer à chaque détour un homme en cape noire et tricorne. Des monuments, des palais, des églises, des musées sur de Vinci, sur Vivaldi, et bien sûr sur la peinture vénitienne : Tintoret, Titien, Veronese et bien d'autres. Venise romantique, Venise colorée, mais aussi populaire avec cette vie si caractéristique qui rythme ses 60 000 habitants. Je reviendrai Venise, pour profiter pleinement de tout tes charmes...
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Confus23 octobre 2007

y1pXJZE8fZIhMLF-2Zim2PhcX7t520J3q9SZj3cdHYrsjk2pjp2cjAFlWdN0sEkN69Vo0lk1IzLHvMlwfcoMrM5SLzOyWrvsXa1A quelques jours du marathon de Venise…une peur irrationnelle s’installe…Pour me rassurer, je refais la préparation à l’envers. Jamais je n’ai fait autant de séances en vitesse maximale aérobie, jamais je n’ai avalé autant de kilomètres…et pourtant…la peur et l’impatience. L’impatience de franchir cette ligne de départ, la peur de ne pas franchir cette belle ligne d’arrivée. Alea jacta est !

lundi 9 avril 2007

Marathon de Paris

SourireAvril 2007
Cette fois-ci, j’avais soigné particulièrement ma préparation, en intensifiant les séances de fractionnés et en perdant du poids.
Le 15 avril, première chaleur sur Paris. Nous étions un peu moins de 30 000 au départ. J’ai le dossard 36496. Je décide de partir sur des bases prudentes, 6’15 au kilomètre et de commencer à m’hydrater tous les km avec quelques gorgées.

Au 5ième je suis 19 893ième, au 10ième je perds 1 200 places, laissant la meute se dégourdir, au 15ième je maintiens mon classement, et au 21ième kilomètre me revoilà dans la même position qu’au 5ième. Je fais la check-list : jambe ok, hydratation ok, énergie ok. Je décide de monter mon allure. J’en appelle aux forces de l’amour. Au 30ième je suis 17 441ième. Je suis bien, les jambes sont un peu lourdes, mais j’ai encore un peu d’énergie. Au 35ième je me classe 15 690ième. Autour de moi, les coureurs tombent comme des mouches, terrassés le plus souvent par la déshydratation. J’accélère encore et je termine au sprint me classant 13 892ième sur les 26 879 coureurs qui finiront ce marathon éprouvant.

Mon temps de 4H12 est honorable compte tenu de la canicule qui régnait sur Paris en fin de matinée. J’ai bu 6 litres d’eau sur le parcours ! Je rentre à l’hôtel fier d’avoir emporté ce nouveau combat. Coup de chapeau aux 4 372 femmes qui ont franchi la ligne d’arrivée. Heureux, je termine la journée avec des huitres place des Termes, et un bon morceau de viande avenue de Wagram et surtout avec celle qui inspira un si beau marathon.